L'Aloé Arborescens en quelques mots
L’aloé arborescens, une autre variété que l’aloès Véra, est désormais préconisé pour soigner certains maux. Il s’agit d’une plante de la famille des Aloeaceae, donc de la même famille que l’aloès Véra qui est fort connu en cosmétologie et en pharmacologie. C’est un arbuste aux feuilles persistantes, et qui mesure à peu près entre 2 à 3 m de haut. Le diamètre de sa tige fait environ 30 cm à sa base. Ses fleurs, d’un ton orange vif à rouge écarlate, sont trimères, bisexuées, et se fixent sur un pédicelle de 3,5 à 4 cm. Cette présentation est nécessaire pour pouvoir distinguer l’une de l’autre. Ce dernier fleurit au début du printemps et en hiver. Il s’avère que l’aloès arborescens possède un grand pouvoir curatif et de guérison, raison pour laquelle se soigner avec est bien possible.
Les vertus de l’aloe arborescens
Pour pouvoir se soigner avec l’aloé arborescens, il convient de connaître son utilité pour l’organisme, les cas auxquels il peut être indiqué et ses principes actifs. Bien qu’il ne soit pas encore massivement exploité dans le domaine de la pharmacologie et de la cosmétologie, cette variété se distingue par son efficacité et sa forte puissance de guérison. Utilisé depuis des millénaires, notamment par les Egyptiens, il possède plusieurs propriétés intéressantes. Ses propriétés thérapeutiques sont :
- inhibiteur sur le développement et la naissance des cellules cancéreuses
- élimination des toxines
- régulateur de l’appareil circulatoire, de l’appareil respiratoire, de l’appareil digestif et du taux de glycémie (en cas de diabète, ou d’hypoglycémie)
- stimulant du système épithélial (pour régénérer les tissus) et du système immunitaire
- cicatrisant, traitement des affections cutanées (piqûres d’insectes, furoncles, psoriasis et eczéma)
- antimycosique, antibactérien, antioxydant, antidouleur, antiseptique, antiviral, anti-âge et anti-inflammatoire
- soulage les rhumatismes, l’hépatite, les tendinites, les foulures et les entorses
Appelé également plante de l’immortalité, il a commencé à être utilisé par les médecins au XXe siècle, notamment pour soigner les brûlures causées par les radiations nucléaires pendant les périodes des Grandes guerres, et pour guérir certains cancers en phase terminale. L’aloès arborescent est efficace pour traiter l’hépato-carcinogenèse.
Comment se soigner avec l’aloé arborescens ?
Une recette qui a connu un grand succès suite à son utilisation par le frère Romano Zago au Brésil peut être adoptée. Toutefois, la prise de compléments alimentaires peut être préconisée aussi pour se soigner de manière plus naturelle. Concernant ces derniers, la dose et le mode de prise doivent suivre les indications mentionnées par les laboratoires concepteurs
Pour la recette du frère Romano Zago, il faut 2 feuilles d’aloe arborescens (environ 350 g), 50 ml de jus de citron ou de whisky et 500 g de miel liquide. Il faut savoir que toute la feuille se mange. Les épines sont à ôter. Toutes les feuilles sont à épousseter, puis à couper en petits morceaux. Les placer dans un mixeur, puis y ajouter miel et le jus de citron, ou le whisky. Mixer le tout pour les réduire, puis verser la solution obtenue dans une bouteille sombre, et la conserver au réfrigérateur.
La solution doit être agitée avant chaque prise. La dose indiquée est d’une cuillère à soupe à prendre une demi-heure avant les 3 principaux repas de la journée. En cas de réaction cutanée suite à sa prise, il est recommandé de diminuer la quantité à consommer. Les feuilles âgées de plus de 5 ans conviennent mieux à cette recette. Une cure de 20 jours est indiquée, puis une pause de 10 jours s’il faut continuer le traitement. Avec cette cure, l’organisme fonctionnera mieux, et la forme et la santé s’amélioreront certainement.